La génèse du livre

Été 2006. La guerre de juillet éclate sans que personne ne l'ait vu venir. Sur le conseil du rédacteur en chef de 20 Minutes, Nathalie Bontems et moi ouvrons un blog, Chroniques beyrouthines, sur lequel nous parlent de tout. De la guerre bien sûr, puisque c'est à cause d'elle que nous avons commencé à écrire. Et de bien d'autres choses encore. Politique, musique, sexualité, relations avec leurs encombrants voisins, religion, théâtre, attentats... Tout se mélange.

Au même moment, Gilles Kraemer publie chez RIveneuve Jours tranquilles à Ramallah, un recueil de chroniques sur les trois années qu'il a vécu en Palestine. Il nous propose d'enrichir la collection. La matière est là, avec les textes du blog. Nous mettons six mois à sélectionner les textes, à les réécrire...

Mars 2009. Jours tranquilles à Beyrouth, préfacé par Antoine Sfeir, est présenté en avant-première aux salons du livre de Bruxelles et de Paris, puis au Mans et à Rennes... avant de prendre la direction de Beyrouth.

Mai 2009. Nathalie et moi lançons le livre dans le cadre de Beyrouth Capitale mondiale du livre, avec une lecture à la gare ferroviaire de Mar Mikhaël. Je vous invite à écouter la lecture faite ce jour-là, ça m'émeut toujours autant.

Dans la même collection

✗ Jours tranquilles en Palestine, ouvrage collectif, 2024.
✗ Jours tranquilles à Istanbul, Camille Lafrance, 2019.
✗ Jours tranquilles à Damas, François Janne d'Othée et Myrna Nabhan, 2018.
✗ Jours tranquilles à Tripoli, Maryline Dumas et Mathieu Galtier, 2018.
✗ Jours tranquilles à Jerusalem, Mohamed Kacimi, 2017.
✗ Jours tranquilles à Alger, Mélanie Matarese et Adlène Meddi, 2016.
✗ Jours tranquilles à Tunis, Stéphanie Wenger, 2015.
✗ Jours tranquilles à Kaboul, Emmanuel Moy, 2014.
✗ Jours tranquilles à l'Est, Marc Capelle, 2013.
✗ Jours tranquilles à Gaza, Karim Lebhour, 2010.
✗ Jours tranquilles à Ramallah, Gilles Kraemer, 2008.